40 ème étape - MANERU - VILLAMAYOR de MONJARDIN - 28 km - Mardi 11 Mai 2010
Départ à 7h 45, le temps est très couvert et le chemin ne me paraît pas trop difficile à part deux passages en escaliers où je dois déposer les sacs. Heureusement un jeune homme m'aide à passer la remorque.
Départ à 7h 45, le temps est très couvert et le chemin ne me paraît pas trop difficile à part deux passages en escaliers où je dois déposer les sacs. Heureusement un jeune homme m'aide à passer la remorque.
Je passe à Estella - Lizarra à midi, où tout le monde s'arrête. Je continue jusqu'à Villamayor, 8 km plus loin où j'ai réservé dans une Albergue tenue par un Hollandais. J'arrive avec 28 km dans les jambes et là le propriétaire me dit qu'il y a une erreur, qu'ils se sont trompés de date et me propose un matelas plutôt une mousse de 4/5 cm à poser au sol. Après avoir déballé toutes mes affaires et après réflexion, je remballe tout et je préviens le propriétaire qu'étant donné son incorrection, je vais voir ailleurs .. celui-ci me répond que je ne trouverai rien à moins de 10 km.
Je me dirige vers le village situé à proximité et je trouve une Albergue donativo tenue par des Français (des Hospitaliers) Arlette et Hervé, très sympathiques ! En tant que compatriote, j'ai droit à une douche chaude tandis que les autres doivent se contenter d'une douche froide ….. !
Mon téléphone remarche normalement et j'ai la bonne surprise d'avoir Antoine au bout du fil qui a décidé de venir me rejoindre pour marcher avec moi, peut-être dimanche .. Je suis très content. Ce soir, repas pris au bar pour 10 € ; je mange en compagnie d'une professeur d'Espagnol qui parle quelques mots de français. Je me couche à 21h ; les matelas sont posés sur une estrade en bois, ça vaut la photo ! C'est tout de même mieux que de dormir par terre. Je vais vite déchanter, les ''matelas'' étaient fourrés de vieux cartons d'emballages pliés, entourés d'un tissu à matelas qui faisait illusion…c'était exactement comme si j'étais par terre. En plus, on est à côté d'une église dont la cloche sonne tous les quarts d'heure. Ça ronfle dur dans la chambre et je n'arrive pas à m'endormir avant 1h du matin ; la nuit aura été courte car tout le monde se réveille à 5h30. Je trouve cela un peu ridicule car on est tous obligés de faire une petite étape, le prochain gîte se trouve à 20 km.
Je me dirige vers le village situé à proximité et je trouve une Albergue donativo tenue par des Français (des Hospitaliers) Arlette et Hervé, très sympathiques ! En tant que compatriote, j'ai droit à une douche chaude tandis que les autres doivent se contenter d'une douche froide ….. !
Mon téléphone remarche normalement et j'ai la bonne surprise d'avoir Antoine au bout du fil qui a décidé de venir me rejoindre pour marcher avec moi, peut-être dimanche .. Je suis très content. Ce soir, repas pris au bar pour 10 € ; je mange en compagnie d'une professeur d'Espagnol qui parle quelques mots de français. Je me couche à 21h ; les matelas sont posés sur une estrade en bois, ça vaut la photo ! C'est tout de même mieux que de dormir par terre. Je vais vite déchanter, les ''matelas'' étaient fourrés de vieux cartons d'emballages pliés, entourés d'un tissu à matelas qui faisait illusion…c'était exactement comme si j'étais par terre. En plus, on est à côté d'une église dont la cloche sonne tous les quarts d'heure. Ça ronfle dur dans la chambre et je n'arrive pas à m'endormir avant 1h du matin ; la nuit aura été courte car tout le monde se réveille à 5h30. Je trouve cela un peu ridicule car on est tous obligés de faire une petite étape, le prochain gîte se trouve à 20 km.
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